 Vincent Arel-Bundock
Université de Montreal Département de science politique
Vincent Arel-Bundock est professeur agrégé au département de science politique à l’Université de Montréal, où il enseigne l’économie politique et les méthodes de recherche. Ses travaux portent sur les politiques de taxation internationale et l’investissement direct à l’étranger. Il a aussi publié sur le vote économique, la politique monétaire, l’aide internationale, et les méthodes de recherche quantitatives.
| |
 Frédérick Bastien
Université de Montreal Département de science politique
Frédérick Bastien est professeur agrégé au Département de science politique de l'Université de Montréal. Travaillant sur la communication politique et le journalisme, il s'intéresse particulièrement à l'utilisation des médias sociaux et d'Internet en politique. Il emploie diverses méthodes, dont les sondages d'opinion publique et l'analyse de contenu. M. Bastien participe actuellement à un projet d’analyse des orientations idéologiques des médias canadiens.
| |
 Laurie Beaudonnet
Université de Montreal Département de science politique
Laurie Beaudonnet est professeure adjointe au Département de science politique de l'Université de Montréal et titulaire de la Chaire Jean Monnet (projet Euroscope). Ses recherches portent sur le comportement politique et l'opinion publique dans l'Union européenne, plus particulièrement les réactions à l'intégration européenne et les attitudes anti-roms. Elle utilise différentes méthodes quantitatives, dont les sondages d'opinion publique et l'étude des comportements électoraux, pour explorer les attitudes des citoyens européens.
| |
 Éric Bélanger
McGill University Département de science politique
Éric Bélanger est professeur titulaire au Département de science politique de l'Université McGill. Il est aussi membre du Collège de nouveaux chercheurs et créateurs en art et en science de la Société royale du Canada. Principalement intéressé par la politique québécoise et canadienne, il étudie les partis politiques, l'opinion publique et le comportement électoral à l'aide de diverses méthodes quantitatives. Ses recherches précédentes ont porté entre autres sur le vote économique et les élections provinciales au Québec. Il participe également à des projets de recherche sur le comportement électoral en Amérique latine, et sur la comparaison du nationalisme québécois et écossais.
| |
 Elissa Berwick
McGill University Département de science politique
Les intérêts de recherche de Prof. Berwick se situent dans les sous champs de la politique comparée et les méthodes quantitatives. Sa recherche se concentre sur le nationalisme infraétatique, en explorant la façon dont les communautés imaginées par les nations sans état façonnent les comportements et les attitudes politiques réelles.
| |
 Antoine Bilodeau
Concordia University Département de science politique
Antoine Bilodeau est professeur agrégé au Département de science politique de l'Université Concordia. Il se spécialise dans l'étude de l'intégration des immigrants et des attitudes à l'égard de l'immigration et de la diversité ethnoculturelle et religieuse. M. Bilodeau est chercheur affilié au Canadian Network for Research on Terrorism, Security and Society, un projet financé par une subvention en partenariat du CRSH, et il est récipiendaire d'un Prix de la recherche de l'Université Concordia en 2016.
| |
 André Blais
Université de Montreal Département de science politique
André Blais est professeur au Département de science politique de l'Université de Montréal. Spécialiste des élections, il s'intéresse particulièrement au comportement électoral, à l'opinion publique, aux systèmes électoraux et à la participation politique. M. Blais étudie les comportements des électeurs et des partis dans divers contextes, notamment lors de 26 élections tenues dans 5 pays pour le projet Making Electoral Democracy Work ainsi que d'un point de vue comparatif lors d'élections régionales, nationales ou européennes. Dans ses travaux, il utilise diverses méthodes quantitatives, dont des sondages et des expériences. Il est titulaire de la Chaire de recherche en études électorales de l'Université de Montréal.
| |
 Marc A. Bodet
Université Laval Département de science politique
Marc André Bodet, professeur agrégé à l'Université Laval, se spécialise en politique québécoise et canadienne dans une perspective comparée. Il étudie les partis politiques et les élections à l'aide d'un éventail de techniques d'analyse quantitative, dont les sondages et les données électorales officielles. Il collabore actuellement à une recherche sur le rôle des citoyens dans les démocraties responsables et à l'écoute.
| |
 Joanie Bouchard
Université de Sherbrooke École de politique appliquée
Joanie Bouchard est professeure adjointe à l’École de politique appliquée de l’Université de Sherbrooke. Elle se spécialise dans l’étude de la psychologie politique, des comportements électoraux et de la politique canadienne. Elle s’intéresse particulièrement aux enjeux de représentation politique et de discrimination en matière de genre, d’ethnicité, d’orientation sexuelle, de statut migratoire et d’âge. Ses recherches mobilisent une méthodologie mixte alliant les méthodes quantitatives, qualitatives et expérimentales.
| |
 Colette Brin
Université Laval Département de communication
Colette Brin est professeure à l'Université Laval et directrice du Centre d'études sur les médias. Ancienne journaliste, elle conserve des liens étroits avec les milieux de pratique en journalisme et en communication; ses recherches actuelles portent d’ailleurs sur les transformations dans ce domaine. Mme Brin s'intéresse tout particulièrement au rôle des médias numériques au Canada ainsi qu'aux médias locaux et régionaux au Québec. Sur le plan méthodologique, elle privilégie l'analyse de contenu, les entretiens semi-dirigés, l'enquête par sondage et l'ethnographie de la production médiatique.
| |
 Emmanuel Choquette
Université de Sherbrooke Département de communication
Emmanuel Choquette est professeur adjoint en communication au Département de communication de l'Université de Sherbrooke. Ses travaux sont axés sur la communication politique, les stratégies discursives, les enjeux de cohésion sociale et les études sur l’humour. Il a effectué des recherches postdoctorales visant à développer des stratégies de communication efficace pour lutter contre les discours haineux. Il s’intéresse également à la représentation et la « stéréotypisation négative » des minorités culturelles et religieuses dans l’espace public, à travers les discours humoristiques en particulier.
| |
 Jeremy Clark
Concordia University Institut de l'Ingénierie des Systèmes d'Information
Jeremy Clark est professeur adjoint à l'Université Concordia. Spécialiste en génie logiciel, il s'intéresse particulièrement à la sécurité du vote en ligne et aux protocoles de sécurité des réseaux à l'aide d’algorithmes, d'analyses de réseaux et de systèmes informatiques. M. Clark est chercheur principal d'un projet sur l'utilisation possible, par les partis politiques, des services en ligne pour les utilisateurs privés et des technologies des chaînes de blocs.
| |
 Simon Coulombe
Université Laval Département de relations industrielles
Simon Coulombe est professeur agrégé au Département des relations industrielles de l'Université Laval. Il est titulaire de la Chaire de recherche Relief en santé mentale, autogestion et travail. Formé en psychologie communautaire (doctorat de l’UQAM obtenu en 2016), il mène des recherches sur la promotion du bien-être positif et le rétablissement en santé mentale chez des travailleurs(ses) de divers groupes marginalisés, incluant les personnes vivant avec des difficultés de santé mentale et celles en situation de précarité d’emploi. Ses travaux se situent à l’intersection entre les relations industrielles et plusieurs champs de la psychologie (communautaire, positive, environnementale et organisationnelle). Il s’intéresse aussi au sentiment de contribution sociale et à la participation sociale comme des facteurs de santé et bien-être, en plus de travailler au développement d’applications numériques utiles en sciences sociales et en promotion de la santé. Avant de joindre l’Université Laval, il a été professeur adjoint en psychologie à Wilfrid Laurier University, où il a entre autres contribué à des recherches sur le bien-être et l’inclusion des personnes LGBTQ+.
| |
 Ruth Dassonneville
Université de Montreal Département de science politique
Ruth Dassonneville est professeure adjointe au Département de science politique de l'Université de Montréal. Elle est également titulaire de la Chaire de recherche du Canada en démocratie électorale. Principalement intéressée par l'opinion publique et le comportement électoral, elle étudie les causes et les effets du désalignement politique à l'aide de diverses méthodes quantitatives, dont des modèles multiniveaux et l'analyse longitudinale. Ses projets actuels analysent notamment l'effet du désalignement sur le comportement des partis et leurs positions idéologiques.
| |
 Roxane de la Sablonnière
Université de Montreal Département de psychologie
Roxane de la Sablonnière est professeure au Département de psychologie de l'Université de Montréal. Experte en psychologie sociale, elle s'intéresse aux effets des changements sociaux sur les individus. Dans ses travaux, elle explore les identités culturelles individuelles ainsi que les relations ethniques et interculturelles. Ses recherches précédentes portaient sur les politiques de diversité, comme le multiculturalisme, l'interculturalisme et la laïcité. Elle se concentre actuellement sur l'étude des changements sociaux dans les collectivités inuites.
| |
 Arnaud Dellis
UQAM Département de l'économie
Arnaud Dellis est professeur au Département des sciences économiques de l'UQÀM. Il étudie les conséquences économiques de la réforme du système électoral à l'aide de la théorie des jeux et de l'économie expérimentale. Il s'intéresse aussi aux questions de provision d'information par les groupes d'intérêt et son effet sur la qualité des politiques publiques. M. Dellis fait aussi partie d'une équipe de recherche qui évalue les effets de l'imposition et des programmes sociaux sur l'efficacité économique et la justice distributive.
| |
 Marina Doucerain
UQAM Département de psychologie
Marina M. Doucerain est professeure agrégée en psychologie sociale et culturelle à l’UQAM, où elle dirige le laboratoire de recherche Culture Identité et Langue. Ses travaux de recherche portent sur les relations entre personnes de groupes ethnoculturels différents – interactions sociales et réseaux sociaux en particulier. Elle se concentre sur les différentes formes de contact que les personnes issues de l’immigration forment dans la société dominante et sur leur intégration culturelle dans leur nouvelle société. Marina Doucerain a reçu son doctorat en sciences sociales (psychologie culturelle et linguistique appliquée) à l’Université Concordia, et a ensuite effectué un stage post-doctoral à l’Université du Québec à Montréal.
| |
 Yannick Dufresne
Université Laval Département de science politique
Yannick Dufresne est professeur adjoint au Département de science politique de l'Université de Laval. Ses intérêts de recherche comprennent l'étude de l'opinion publique, les études électorales, la psychologie politique, et la communication politique. Ses projets de recherche portent principalement sur les processus démocratiques et les stratégies politiques à l'ère des données à grande échelle. Il est titulaire de la Chaire de leadership en enseignement (CLE) en sciences sociales numériques.
| |
 Claire Durand
Université de Montreal Département de sociologie
Claire Durand est professeure au Département de sociologie de l'Université de Montréal. Experte de la méthodologie des sondages, elle étudie l’impact de la méthodologie des sondages sur leur capacité à prédire les résultats électoraux. Elle travaille également au développement de méthodologies visant à analyser les bases de données combinées. À ce titre, elle étudie l’évolution de la confiance institutionnelle dans le monde. Elle s’est également intéressée aux statistiques relatives aux Premières Nations et à leur impact social. Elle a été présidente de l'Association mondiale pour la recherche sur l'opinion publique (WAPOR) en 2017 et 2018.
Mots Clés
Sondages, Méthodologie quantitative, Modèles multi-niveaux, Mesure, Confiance institutionnelle.
| |
 Dominic Duval
UQAM Département de communication
Dominic Duval est professeur au Département de Communication Publique et Sociale de l'UQÀM. Ses intérêts de recherche et domaines d'expertises incluent notamment la communication politique, les méthodes de recherche en sciences sociales, les méthodes quantitatives et l'opinion publique. Sa thèse de doctorat, intitulée "Les promesses électorales : mise en œuvre, perceptions et couverture médiatique", est composée de de trois articles qui portent sur les promesses électorales au Canada.
| |
 Aaron Erlich
McGill University Département de science politique
Aaron Erlich est professeur adjoint au Département de science politique de l'Université McGill. Ses intérêts de recherche comprennent la démocratisation, la diffusion de l'information, le comportement politique, la participation politique et l'opinion publique, notamment dans l'ex-Union soviétique, en Afrique de l'Est et australe et au Mexique. Il utilise un éventail de méthodes, dont les expériences de terrain, les expériences par sondage et les méthodes mixtes.
| |
 Benjamin Forest
McGill University Département de géographie
Benjamin Forest est professeur agrégé au Département de géographie et membre associé du Département de science politique de l'Université McGill. Spécialiste en géographie politique, il travaille surtout sur la diversité et les réformes électorales. En plus de participer à un projet sur l'utilisation des monuments et des mémoriaux dans les États postsoviétiques, il dirige un projet sur la diversité dans les partis politiques et les circonscriptions au Canada. Il s'intéresse aussi aux politiques LGBTQ sur la scène municipale.
| |
 Patrick Fournier
Université de Montreal Département de science politique
Patrick Fournier est professeur au Département de science politique de l'Université de Montréal. Ses recherches portent principalement sur la psychologie politique, notamment les comportements politiques, la compétence des citoyens, et le changement d’opinion. Il est chercheur principal de l'Étude électorale canadienne 2011 et 2015, et chercheur principal d'un projet de recherche sur les réactions face à la négativité.
| |
 Francois Gelineau
Université Laval Département de science politique
François Gélineau est professeur au Département de science politique de l'Université Laval. Spécialiste des politiques latino-américaines, il s'intéresse à la participation électorale, à la responsabilité électorale, au vote économique et à l'opinion publique. Il a déjà étudié l'application du modèle Michigan sur le comportement électoral en Amérique latine. M. Gélineau est titulaire de la Chaire de recherche sur la démocratie et les institutions parlementaires de l'Université Laval.
| |
 Thierry Giasson
Université Laval Département de science politique
Thierry Giasson, professeur titulaire au Département de science politique de l'Université Laval, se spécialise en communication politique. Il étudie les stratégies de campagnes électorales et de communication citoyenne sur le web, le marketing politique et la médiatisation des enjeux politiques. Il étudie actuellement les formes d'expression de la citoyenneté politique et les modes émergents de communication politique dans les espaces numériques. M. Giasson est également le chercheur principal du Groupe de recherche en communication politique (GRCP).
| |
 Elisabeth Gidengil
McGill University Département de science politique
Elisabeth Gidengil détient le poste de professeure Hiram Mills au Département de science politique de l'Université McGill. Ses travaux portent sur l'engagement politique, le comportement électoral et l'opinion publique. Utilisant surtout les sondages et l'analyse de contenu dans les médias, elle analyse les questions de diversité, de genre, d'immigration et de citoyenneté. Elle étudie actuellement l'impact des politiques publiques sur l'engagement citoyen.
| |
 Jean-François Godbout
Université de Montreal Département de science politique
Jean-François Godbout est professeur agrégé au Département de science politique de l'Université de Montréal. Il étudie les institutions politiques au Canada dans une perspective comparative, en particulier le comportement législatif. Ses travaux actuels portent sur l'analyse des discours parlementaires à la Chambre des communes et au Sénat. Il est codirecteur de la Revue canadienne de science politique et directeur de l'Observatoire des fédérations, une unité du Centre d’études et de recherches internationales (CÉRIUM).
| |
 Allison Harell
UQAM Département de science politique
Allison Harell est professeur au Département de science politique de l'UQÀM. Ses principaux champs d'expertise sont le comportement politique et l'opinion publique dans les démocraties industrialisées. Plus précisément, elle s'intéresse aux effets de la diversité ethnoculturelle et du genre sur la citoyenneté. Elle a récemment étudié les orientations psychologiques en politique, le rôle des valeurs dans les contextes multiethniques ainsi que les réactions des jeunes aux changements dans des milieux caractérisés par la diversité ethnique et religieuse. Ses recherches combinent les techniques de sondage traditionnelles et les expériences. Mme Harell est titulaire de la Chaire de recherche en psychologie politique de la solidarité sociale (CPPSS).
| |
 Eric Hehman
McGill University Département de psychologie
Eric Hehman est professeur associé en psychologie à l'Université McGill et directeur du Seeing Human Lab.
Généralement, la recherche de Dr. Hehman examine comment les individus se perçoivent et s'évaluent les uns les autres au travers de différents éléments (genre, orientation sexuelle, occupation, etc.). Afin de répondre à ses questions de recherche, il utilise différentes méthodes, incluant des techniques comportementale (enregistrement de la souris, modélisation digitale de visages, interaction entre groupes) et statistiques (modélisation multi-niveau, modélisation par équation structurale).
| |
 Olivier Jacques
Université de Montreal École de santé publique - Département de gestion, d’évaluation et de politique de santé
Olivier est professeur adjoint au Département de Gestion, d'évaluation et de politiques de santé de l'Université de Montréal. Il a obtenu son doctorat au département de science politique de l’Université McGill à l’automne 2020 et a été chercheur postdoctoral à l'Université Queen’s jusqu'en septembre 2021. Il s’intéresse à l’économie politique des politiques publiques au Canada et en Europe. Plus précisément, ses recherches portent sur les conséquences de l’austérité budgétaire sur le financement de l’État et du système de santé, ainsi que sur les difficultés que rencontrent les gouvernements qui cherchent à investir à long terme, notamment en santé publique. Il a aussi analysé l’opinion des citoyens quant aux politiques fiscales et au fédéralisme fiscal ainsi que les relations entre politiques sociales et inégalités de revenu.
| |
 Mebs Kanji
Concordia University Département de science politique
Mebs Kanji est professeur agrégé au Département de science politique de l'Université Concordia. Expert des politiques canadiennes, il s'intéresse aux questions de diversité des valeurs et de cohésion sociale. Ses récentes publications portent sur le soutien accordé aux politiciens et les valeurs démocratiques au Québec. M. Kanji participe également à une recherche sur la religion et les États.
| |
 Erick Lachapelle
Université de Montreal Département de science politique
Erick Lachapelle est professeur associé en science politique à l’Université de Montréal. Il a complété son doctorat à l’Université de Toronto en 2011, avec une thèse sur l’économie politique de la taxation du carbone à l’OECD. Actuellement, il est chercheur principal pour le Canadian Survey on Energy and the Environment (CSEE), et il est partenaire de recherche avec EcoAnalytics. De manière Générale, il se concentre sur les réponses politiques et sociales à des problématiques politiques complexes, comme le changement climatique. Son travail observe le rôle des valeurs, des idéologies, et de facteurs contextuels dans la façon dont les perceptions du risques et l’opinion publique se construisent, et également les interactions entre les médias, l’opinion publique, et les politiques publiques.
| |
 Mireille Lalancette
UQTR Département de communication
Mireille Lalancette est professeure titulaire en communication politique à l’Université du Québec à Trois-Rivières. Ses intérêts de recherche incluent la communication politique, les médias sociaux, les représentations et les discours médiatiques avec un accent particulier sur l’argumentation.
| |
 Normand Landry
Université TELUQ Département Sciences humaines, Lettres et Communications
Normand Landry est professeur à la TÉLUQ (Université du Québec) et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en éducation aux médias et droits humains. Ses travaux se concentrent sur l’éducation aux médias, les droits de la communication, l’intimidation judiciaire, ainsi que sur la communication et les mouvements sociaux.
| |
 Caroline Le Pennec
HEC Montréal Département de l'économie
Caroline Le Pennec est professeure assistante au département d’économie appliquée à HEC Montréal. Elle a obtenu son doctorat en économie à l’University of California Berkeley en 2020. Ses intérêts de recherche portent sur l’économie politique, la compétition électorale, et la communication de campagne.
| |
 Valérie-Anne Mahéo-Le-Luel
Université Laval Département de science politique
Valérie-Anne Mahéo est professeure adjointe au Département de science politique de l'Université Laval. Dans ses recherches, Valérie-Anne Mahéo adopte une approche dynamique et interdisciplinaire pour étudier la socialisation politique, les comportements politiques et les inégalités sociales.
| |
 Fenwick McKelvey
Concordia University Département de communication
Fenwick McKelvey est professeur adjoint au Département de communication de l'Université Concordia. Il se spécialise dans les secteurs de la communication et du journalisme. Plus précisément, il examine les questions relatives à l'algorithme des médias, à la gestion du trafic en ligne, aux politiques Internet et à la gouvernance. Il a aussi mené des recherches sur l'utilisation de logiciels de gestion de campagnes dans le cadre d'élections au Canada et aux États-Unis.
| |
 Richard Nadeau
Université de Montreal Département de science politique
Richard Nadeau est professeur au Département de science politique de l'Université de Montréal. Ses recherches portent sur le comportement électoral, l'opinion publique, le vote économique et la politique. M. Nadeau a aussi étudié l'image et le comportement des partis politiques ainsi que les enjeux auxquels ils sont confrontés. Il est chercheur associé au Centre de recherches politiques de Sciences Po (CEVIPOF).
| |
 Reihaneh Rabbany
McGill University Département d'informatique
Reihaneh est professeure adjointe à la School of Computer Science de l’Université McGill. Auparavant, elle a été boursière postdoctorale à la faculté d’informatique de l’Université Carnegie Mellon. Elle a terminé son doctorat dans le département des sciences informatiques de l’Université de l’Alberta. Ses recherches se situent à l’intersection de la science des réseaux, de l’exploration de données et de l’apprentissage automatique, en mettant l’accent sur l’analyse de données interconnectées du monde réel et d’applications à valeur sociale.
| |
 Eran Shor
McGill University Département de sociologie
Eran Shor est professeur agrégé au Département de sociologie de l'Université McGill. Ses recherches portent sur les conflits politiques, les droits de l'homme ainsi que l'ethnicité et le nationalisme. Actuellement, M. Shor évalue les inégalités de la couverture médiatique des femmes et des minorités ethniques.
| |
 Thomas Soehl
McGill University Département de sociologie
Thomas Soehl est professeur adjoint au Département de sociologie de l'Université McGill. Ses travaux portent principalement sur la migration internationale, la race et l'ethnicité. Il étudie ces thèmes du point de vue de la famille, qu'il considère comme un facteur important de la transmission des intérêts culturels et politiques. Récemment, il s'est intéressé à l'acquisition de la citoyenneté au Canada et en France ainsi qu'aux déterminants des attitudes anti-immigration. Il utilise diverses méthodes quantitatives comme l'analyse d'événements historiques et la modélisation multiniveau.
| |
 Dietlind Stolle
McGill University Département de science politique
Dietlind Stolle est professeure au Département de science politique de l'Université McGill. Elle explore la mobilisation, la participation et les connaissances politiques ainsi que le capital social, les préjugés ethniques et raciaux et les effets de la diversité ethnique. Elle est chercheure principale de l'Étude électorale canadienne. Ses recherches quantitatives portent entre autres sur la mobilisation des jeunes et leur participation sur Facebook, l'incidence de la grossesse sur le comportement politique, l'effet de la diversité religieuse dans onze pays et les attitudes à l'égard des réfugiés en Allemagne. Elle est directrice du Centre pour l'étude de la citoyenneté démocratique.
| |